myrzouick

écrire, scénariser et mourir vite...

mise en ligne le 21/03/2020

Nouvelles

On met un peu de gris, c'est plus sobre... Ensuite, on rajoute une balise, un dossier plein de PDF. Et voilà.
Toutes les semaines, sur cette page, vous aurez accès aux nouvelles que j'ai écrites (et réécrites) durant ces dernières années (entre 2013 et maintenant en gros).

Si elles vous plaisent, n'hésitez pas à me contacter pour me dire ce que vous en pensez : "toujours le même pseudo" @ gmail - point - com !
Facile n'est-ce pas ?
PS : vérifier si les robots savent lire ça.

En attendant une de mes premières nouvelles.

à propos

Les Olfacteurs, ma première nouvelle qui parle de Cinéma et de futur.
A l'heure où je publie cette nouvelle, le futur n'a jamais été aussi "présent". On parle par exemple de cinéma 4DX avec un tas d'artifices, lumière, odeurs, sièges qui bougent et brumisateur.
Alors voir une course poursuite en étant secoué, je ne suis pas sûr que ça me plaise. Je veux dire. L'odeur dans un cinéma pourquoi pas et encore, je me rapprocherai plutôt du héros de ma nouvelle : le cinéma c'est mieux quand ça ne sent que le pop-corn.
On me rétorque alors, mais c'est pour que l'immersion soit plus grande. D'où le HFR, d'où le son surround, il fallait aller encore plus loin pour être encore plus immergé dans le film...
A quoi bon ?

Une plus grande immersion pour être au plus près de ce que ressentent les personnages ? Une plus grande immersion pour être au plus près de l'action ?
Est-ce qu'on en a vraiment besoin ? Devant une bonne scène d'action, le coeur accélère, l'adrénaline monte. Devant un bon film d'horreur, la peur est là. Devant un bon Hugh Grant, y a toujours une petite larme (surtout quand il monte sur scène avec le petit garçon asocial...). Bref, on a placé le cinéma au rang d'art car il n'a pas besoin d'artifice pour faire illusion...

à suivre...

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